Décimées par les événements climatiques extrêmes, ces zones boisées ne peuvent plus jouer leur rôle de «puit de carbone», alerte une étude publiée mercredi dans la revue «Nature». D’autres forêts tropicales pourraient être touchées à l’avenir.
La suppression prévue dans le projet de loi de finances de deux niches fiscales dont bénéficient ces carburants, inquiète les associations d’automobilistes et les agriculteurs. Le tarif du litre de bioéthanol pourrait ainsi grimper en quelques années de 40 ou 50 centimes.