Dans une étude publiée ce mercredi 10 décembre, l’ONG Changing Markets révèle que les habits en plastique recyclé, vendus sous couvert de démarche écologique, libèrent en réalité davantage de microparticules au lavage.
La presse américaine a accusé mardi 9 décembre l’institution de justifier la hausse des températures par des éruptions volcaniques ou des variations de l’activité solaire, dissimulant l’effet des activités humaines.
L’étude publiée mercredi 10 décembre révèle que ce substitut du bisphénol A, interdit en France depuis 2015 dans les contenants alimentaires, n’est pas une alternative sûre. Une des coautrices appelle à son interdiction au nom du principe de précaution.