En Ukraine, à Gaza, au Soudan ou ailleurs, les autocrates, souvent décomplexés, rôdent pour se partager les territoires. Dans cet univers de prédateurs, l’Europe a un rôle à jouer.

L’envolée des coûts du projet Cigéo visant à enfouir les déchets les plus radioactifs à Bure ne surprendra personne. Elle repose la question du gouffre financier de la relance nucléaire : la facture à 100 milliards d’euros minimum sera forcément présentée aux consommateurs et aux contribuables.

Monologue de cette forme de pouvoir ancienne, l’empire, qui revient en force et menace une Europe qui pensait en être débarrassée.