En 1995, la diplomatie américaine imposait les accords de Dayton pour mettre fin au conflit dans les Balkans. Trois décennies plus tard, ce cadre institutionnel basé sur des critères ethniques continue de diviser le quotidien des habitants.
Selon Damas, l’assaillant devait être «radié» de l’armée ce dimanche, à cause de ses «idées islamistes extrémistes». Donald Trump a affirmé que les Etats-Unis «riposteraient» à cet attentat que le Pentagone attribue à l’Etat islamique.
La cible touchée samedi 13 décembre, était considérée comme l’un des deux plus hauts responsables encore en vie de la branche militaire du Hamas, aux côtés du chef du mouvement à Gaza, Izz al-Din al-Haddad.