Les affrontements récents, qui ont causé la mort de plus de 100 personnes issues de la minorité, ont cessé depuis le déploiement des forces gouvernementales. Les habitants oscillent entre soulagement et crainte d’un retour des attaques.
La minorité religieuse visée par des attaques depuis mardi accuse le pouvoir de Damas d’être à l’origine des heurts. En soutien, l’Etat hébreu a frappé Damas ce vendredi 2 mai à l’aube.
Etabli dans plusieurs pays de la région, ce groupe religieux très secret dans sa pratique et né d’un schisme de l’islam, a noué une relation particulière avec Israël.