Vanté par le gouvernement comme un bon levier pour dynamiser les chefs-lieux de canton de moins de 20 000 habitants, le dispositif pâtit de trop maigres budgets.
La petite ville s’est lancée il y a cinq ans, avec des acteurs associatifs, dans une opération d’amélioration de l’habitat et de renouvellement urbain afin de regagner en attractivité, après une longue érosion démographique.
Le président de la République et le ministre des Outre-Mer vont tenter, à compter de ce 2 juillet, de concilier les aspirations indépendantistes et loyalistes, afin de permettre à l’archipel de se reconstruire après les émeutes de 2024.