Les discriminations et les violences ont été le moteur de l’histoire de l’Algérie coloniale, au contraire des amitiés et des sociabilités partagées entre «musulmans» et «non-musulmans», qui sont restées très limitées, explique l’historienne.
Une étude parue le 23 avril dans la revue «Nature» chiffre à des milliers de milliards de dollars les dommages imputables à l’activité des compagnies pétrogazières.
De nombreux discours savants ont médicalisé et pathologisé, depuis le XIXe siècle, le désir féminin d’émancipation, explique la psychanalyste. Elle en appelle à une pratique analytique plus libre et attentive à la situation matérielle des femmes.