A l’heure où se multiplient des échos guerriers à travers l’Europe, et que le vocabulaire martial a repris du galon, «Libé» est allé sonder des militants pour la paix plus de cinquante ans après leurs mobilisations. Ceux qui se sont battus pour le Vietnam et le Larzac et jouaient du Bob Dylan dans les soirées ont aujourd’hui perdu de leur «naïveté».