Selon la présidence algérienne, les prisonniers condamnés pour «atteinte à l’unité nationale» sont exclus des mesures de grâce présidentielle décrétées ce vendredi à l’occasion de la fête de l’indépendance. L’écrivain franco-algérien de 80 ans, au cœur de la brouille diplomatique entre Paris et Alger risque de rester en prison.