Mort en 2010, l’auteur de romans noirs n’avait pas son pareil pour mettre en lumière des anti-héros de la vie quotidienne. Zulma vient de republier le grinçant «la Place du mort», où un veuf enquête sur sa femme tuée en voiture au côté de son amant.
Pour le philosophe, si elle «doit être aux côtés» des luttes contre le racisme ou le capitalisme, la Marche des fiertés doit aussi formuler des revendications fidèles à «la portée subversive de l’homosexualité».