En proie à des sondages traduisant un certain scepticisme à l’égard de sa politique, le président américain s’est évertué, mercredi soir dans une allocution à la télévision, à décrire une Amérique en plein essor, tout en accablant son prédécesseur, Joe Biden, responsable d’une « invasion » d’immigrés.
La Maison Blanche a confirmé cette réunion, mais n’a fourni aucun détail sur la composition des délégations. Selon le site « Politico », les Etats-Unis seront représentés par l’émissaire pour l’Ukraine, Steve Witkoff, et le gendre du président Donald Trump, Jared Kushner, tandis que la Russie devrait envoyer l’émissaire du Kremlin pour les questions économiques, Kirill Dmitriev.
Malgré des « progrès significatifs » évoqués par les Européens, les pourparlers semblent tourner en rond. La proximité entre les négociateurs américains et la Russie nourrit la défiance chez les alliés de Kiev, qui se retrouvent, jeudi, à Bruxelles pour statuer sur le sort des avoirs russes gelés.