Devant la cour d’appel de Paris, les deux avocats généraux ont qualifié dans leur réquisitoire d’« indécence » la ligne de défense des deux entreprises.
L’Etat estime que les sanctions fiscales et pénales déjà prononcées dans cette affaire suffisent à réparer le préjudice. Les époux Balkany sont rejugés uniquement sur les intérêts civils pour avoir dissimulé, entre 2007 et 2014, quelque 13 millions d’euros d’avoirs au fisc.