A la suite des attaques du régime de Damas contre la minorité druze, l‘Etat hébreu aurait bombardé «plus de 20 sites militaires» dans la nuit du vendredi 2 au samedi 3 mai, affirme l’Observatoire syrien des droits de l’homme.
Les suspects sont soupçonnés d’être les «instigateurs, les relais, les recruteurs et les exécutants» dans l’affaire DDPF, a déclaré la procureur de Paris ce samedi 3 mai.